En tant que membre de l'EUPA et donc représentant certifié des médias, vous pouvez bénéficier de nombreux avantages. Par exemple, votre pass presse peut vous permettre de bénéficier de réductions spéciales lors d'événements ou lors de l'achat de produits de marque. Même si le journalisme n'est que votre activité à temps partiel, vous pourrez bénéficier de tous ces avantages, qui vous aideront rapidement à récupérer le coût de votre adhésion annuelle à l'EUPA.
Profiter de réductions de toutes sortes est tout aussi populaire en Europe qu’aux États-Unis. En tant que membre de la presse, de telles réductions vous sont proposées lors de salons et d'expositions, dans les musées, lors de concerts, etc. De nombreux endroits offrent des rabais allant jusqu'à 40 % sur le prix régulier, ce qui vous permet de négocier de meilleures offres, que ce soit sur la prochaine réservation d'hôtel, la location de voiture ou votre contrat de téléphone portable. De plus en plus de secteurs d'activité proposent des rabais attractifs dans l'espoir de créer une image positive auprès des membres de la presse et de bénéficier d'une couverture favorable.
Considérations éthiques pour les journalistes
Le paysage médiatique américain n’est pas le seul à connaître des changements rapides ces dernières années. De plus en plus de journalistes travaillent en freelance, à temps plein ou à temps partiel, et ne bénéficient plus des sécurités qu'implique un emploi dans une rédaction ou une maison d'édition. Les journalistes indépendants sans revenus réguliers subissent des charges financières nettement plus lourdes au cours de leurs efforts de recherche quotidiens, dont les rédacteurs et les journalistes salariés n'ont pas à s'inquiéter.
À l'EUPA, nous consacrons une grande partie de notre soutien aux journalistes à temps partiel afin de leur accorder l'accès aux mêmes avantages que les journalistes bien établis. Le titre de poste « journaliste » n’est pas protégé par la loi et il n’existe pas de carte de presse standard pour tous les membres des médias aux États-Unis. Au contraire, chaque association de journalisme délivre ses propres laissez-passer. Pour des raisons éthiques, les journalistes ne doivent profiter de leurs réductions que dans le cadre de leurs recherches. Cependant, une preuve de publication est rarement nécessaire pour bénéficier d’une réduction.